24 mai 2014

Le progrès ... un bienfait ?

Il ne vous a pas échappé , ces temps ci, que l'on nous rabâche que le progrès c'est bien.
Point . oui, point final , circulez il n'y a rien à ajouter , il est interdit de contester ou de contredire.
Pourtant, le progrès version dogmatique comme on nous le sert est réellement dangereux .

1- Le progrès est un équilibre pas un but infini
Pour TOUTES CHOSES le progrès offre un gain AU DÉBUT , puis on passe par un point maximum.
Si vous commettez la folie de continuer à avancer, alors les inconvénients deviennent supérieurs aux avantages et vous commencez la décadence.

Prenons l'exemple de l’électronique (qui m'est chère !)
Au début : c'est bien joli : la radio avec la musique et les infos; la télévision avec ses films et la diffusion d’œuvres culturelles. En plus de tout cela , l'industrie embauche dans ses usines. Tous est bien.
Enfin , jusqu'au niveau maximum (aux alentours des années 80)

Mais voilà que le vieux 45T ne fait plus rêver alors, le CD arrive.
En quelques années :
-côté industrie  c'est le début des délocalisations et l'arrivée en masse des japonais
-côté culturel, le 45T n'est jamais remplacé par le CD (trop cher pour un seul titre)
plus de "marche-pied" pour les débutants, et, fin 80, le top50 boit la tasse. C'est est fini du plein emploi et de la musique pop variée des années 80. Les années 90 marqueront clairement le début du formatage musical.

Fin 90 cette fois , c'est le tour des télés : le gros écran cathodique fait "vieux"  et  des écrans plats (à prix faramineux) apparaissent. Aujourd'hui, la délocalisation des produits électronique EST TOTALE.

Si vous regardez objectivement d'autres secteurs (médecine , agro-alimentaire, logement,) je suis sûr que vous trouverez vous aussi que le point maximal est dépassé.

1 mai 2014

Un peu de politiquement incorrect ....

Je viens de regarder le film "les espions" de Henri-Georges Clouzot,
et j'y ai relevé 2 courtes scènes :


vous aimerez également:cet extrait avec un film de fernandel très peu connu
ou cet autre extrait avec jean richard